Névralgie du trijumeau – Causes | Pourquoi provoque-t-elle une douleur lancinante ?
La névralgie du trijumeau est un type de douleur nerveuse qui affecte le nerf trijumeau, responsable de la transmission des informations sensorielles du visage au cerveau. La cause exacte de la névralgie du trijumeau n’est pas toujours claire, mais on pense qu’elle est liée à la compression ou à l’irritation du nerf trijumeau.
Dans certains cas, la compression ou l’irritation du nerf trijumeau peut être causée par un vaisseau sanguin qui appuie sur le nerf à sa sortie du tronc cérébral. D’autres causes possibles sont des tumeurs ou des kystes appuyant sur le nerf, la sclérose en plaques ou une lésion du nerf.
La douleur lancinante associée à la névralgie du trijumeau serait causée par des signaux anormaux envoyés le long des fibres nerveuses en raison de la démyélinisation. La douleur peut être déclenchée par une stimulation même légère du visage, comme le brossage des dents ou même une brise légère. Ces déclencheurs provoquent une réaction anormale du nerf, qui envoie des signaux de douleur intenses au cerveau.
Le mécanisme exact à l’origine de la douleur lancinante, c’est-à-dire aiguë et lancinante, n’est pas entièrement compris. Toutefois, on pense qu’il est lié à la manière dont le nerf trijumeau transmet les signaux de douleur. Le nerf trijumeau contient à la fois de grandes et de petites fibres, et l’on pense que la douleur aiguë et lancinante peut être transmise par les fibres plus petites et plus fines.
Comment la névralgie du trijumeau évolue-t-elle ?
La névralgie du trijumeau peut évoluer différemment d’une personne à l’autre. Dans certains cas, elle peut commencer par des épisodes douloureux légers et occasionnels qui deviennent progressivement plus fréquents et plus intenses avec le temps. Dans d’autres cas, elle peut commencer par des épisodes de douleur graves et fréquents dès le début.
En général, la névralgie du trijumeau a tendance à évoluer en termes de fréquence et d’intensité de la douleur. Les épisodes douloureux peuvent devenir plus fréquents, durer plus longtemps et se produire sans déclencheur apparent. Avec le temps, la douleur peut s’intensifier et la personne peut ressentir une douleur constante de type brûlure en plus de la douleur lancinante.
Au fur et à mesure de l’évolution de la maladie, la douleur peut également devenir plus difficile à gérer avec des médicaments. Dans certains cas, les individus peuvent développer une tolérance aux médicaments, nécessitant des doses plus élevées ou des médicaments plus puissants pour obtenir le même niveau de soulagement de la douleur. Il existe également un risque d’effets secondaires des médicaments, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains cas.
Dans de rares cas, la névralgie du trijumeau peut entraîner une perte progressive de la sensibilité dans la zone affectée du visage, qui peut être permanente. Il est important de consulter un médecin si vous pensez souffrir de névralgie du trijumeau ou si vos symptômes évoluent.
Comment diagnostiquer la névralgie du trijumeau ?
Le diagnostic de la névralgie du trijumeau repose généralement sur une anamnèse et un examen physique approfondis, ainsi que sur divers tests permettant de confirmer le diagnostic et d’exclure d’autres affections susceptibles de provoquer des symptômes similaires. Voici quelques méthodes couramment utilisées pour diagnostiquer la névralgie du trijumeau :
Antécédents médicaux : Votre médecin vous posera des questions sur vos symptômes, notamment sur leur date d’apparition, leur fréquence et ce qui les déclenche. Il vous interrogera également sur vos antécédents médicaux et sur les médicaments que vous prenez actuellement.
Examen physique : Votre médecin examinera votre visage, votre mâchoire et votre cou à la recherche de signes d’enflure, de sensibilité ou d’autres anomalies. Il pourra également tester vos réflexes et votre force musculaire.
Examens d’imagerie : Des examens d’imagerie, tels qu’une IRM ou un scanner, peuvent être demandés pour rechercher des anomalies structurelles, telles qu’une tumeur ou un vaisseau sanguin appuyant sur le nerf trijumeau.
Études de conduction nerveuse : Ces examens mesurent l’activité électrique du nerf trijumeau pour déterminer s’il fonctionne correctement.
Tests sensoriels : Les tests sensoriels peuvent aider à déterminer l’étendue de la lésion nerveuse et à déterminer si elle affecte également d’autres nerfs.
Test de déclenchement : Le test de déclenchement consiste à appliquer une légère pression ou d’autres stimuli sur différentes zones du visage pour voir si cela déclenche un épisode de douleur.
Si votre médecin soupçonne que vous souffrez de névralgie du trijumeau, il pourra vous adresser à un spécialiste de la douleur ou à un neurologue pour une évaluation et un traitement plus approfondis.
La discussion s’est déroulée entièrement en bengali pour faciliter la compréhension des non-spécialistes.
Comment différencier la névralgie du trijumeau d’autres douleurs faciales ou lancinantes ?
La névralgie du trijumeau peut être difficile à diagnostiquer, car de nombreuses autres affections peuvent provoquer des douleurs faciales. Voici quelques diagnostics différentiels courants de la névralgie du trijumeau :
Problèmes dentaires : Une carie dentaire, une maladie des gencives ou d’autres problèmes dentaires peuvent provoquer une douleur faciale qui peut être confondue avec une névralgie du trijumeau. Un dentiste peut généralement identifier les problèmes dentaires comme étant la cause de la douleur.
Trouble de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM) : Les troubles de l’articulation temporo-mandibulaire peuvent provoquer une douleur et une sensibilité au niveau de l’articulation de la mâchoire, qui peuvent être confondues avec une névralgie du trijumeau. Cependant, la douleur de l’articulation temporo-mandibulaire est généralement plus constante et peut être associée à des bruits de claquement ou d’éclatement lors de l’ouverture de la bouche.
Infections des sinus : Les infections des sinus peuvent provoquer des douleurs faciales qui peuvent être confondues avec la névralgie du trijumeau. Cependant, la douleur sinusale est généralement plus diffuse et peut être accompagnée d’autres symptômes, tels que congestion, maux de tête ou fièvre.
Maux de tête en grappe : Les céphalées en grappe peuvent provoquer une douleur intense d’un côté de la tête qui peut être confondue avec une névralgie du trijumeau. Cependant, les céphalées en grappe se produisent généralement par cycles et sont souvent accompagnées d’autres symptômes, tels que larmoiement, congestion nasale ou transpiration du visage.
Névralgie du glossopharynx : La névralgie du glossopharynx est une affection similaire qui touche le nerf glossopharyngien, qui procure des sensations à la gorge et à la langue. Les symptômes comprennent une douleur intense et lancinante à l’arrière de la gorge.
Causes de la névralgie du trijumeau
La névralgie du trijumeau primaire ou idiopathique peut être causée par le contact entre des vaisseaux sanguins aberrants et le nerf trijumeau, le premier exerçant une pression et frottant le nerf, ce qui provoque une démyélinisation (de la même manière que la peau s’épluche sous l’effet de grattages répétés, le revêtement du nerf est endommagé par le frottement des artères pulsatiles). Le patient ressent alors une douleur due au nerf endommagé. Il s’agit d’une hypothèse qui n’a pas encore été prouvée.
Parmi les autres causes, le vieillissement, la sclérose en plaques, les troubles démyélinisants, les tumeurs compressives, les accidents vasculaires cérébraux, les traumatismes faciaux et les lésions chirurgicales peuvent être à l’origine de la névralgie du trijumeau.
Quels sont les autres examens pratiqués chez les patients souffrant de névralgie du trijumeau ?
- Plusieurs examens peuvent être pratiqués chez les patients souffrant de névralgie du trijumeau afin de confirmer le diagnostic et d’exclure d’autres affections susceptibles de provoquer des symptômes similaires. Ces examens peuvent être les suivants
- Imagerie par résonance magnétique (IRM) : l’IRM est un examen d’imagerie non invasif qui utilise de puissants aimants et des ondes radio pour produire des images détaillées du cerveau et des tissus environnants. L’IRM peut aider à identifier toute anomalie structurelle, telle qu’un vaisseau sanguin ou une tumeur, susceptible de provoquer une compression ou une lésion du nerf trijumeau.
- Tomodensitométrie (CT scan) : La tomodensitométrie est un examen d’imagerie non invasif qui utilise des rayons X et un ordinateur pour produire des images détaillées du cerveau et des tissus environnants. La tomodensitométrie peut être utilisée pour éliminer d’autres affections susceptibles de provoquer des douleurs faciales.
- Électromyographie (EMG) : L’électromyographie est un examen qui mesure l’activité électrique des muscles et des nerfs. L’EMG peut être utilisé pour évaluer la fonction du nerf trijumeau et déterminer s’il fonctionne correctement.
- Tests sensoriels : Les tests sensoriels peuvent aider à déterminer l’étendue de la lésion nerveuse et si elle affecte également d’autres nerfs. Il peut être réalisé à l’aide de différentes méthodes, telles qu’un coton-tige ou une piqûre d’épingle, afin d’évaluer la sensation dans différentes parties du visage.
Analyses sanguines : Des analyses sanguines peuvent être effectuées pour écarter des conditions médicales sous-jacentes, telles que des infections ou des troubles auto-immuns, qui pourraient être à l’origine de la douleur faciale. - Votre médecin peut vous recommander un ou plusieurs de ces examens en fonction de vos symptômes et de vos antécédents médicaux. Les résultats de ces examens peuvent aider à orienter les décisions thérapeutiques et à identifier toute affection sous-jacente devant être traitée.
Comment commencer le traitement ?
Comme toute autre maladie chronique, on ne peut pas la guérir complètement. Cependant, nous pouvons contrôler la gravité de la maladie. Dans ce cas, les analgésiques les plus puissants n’agissent pas non plus car la source de la douleur est le nerf ; les médicaments sont donc utilisés pour contrôler la douleur neuropathique.
Quelle est l’approche thérapeutique pour les patients souffrant de névralgie du trijumeau ?
- Médicaments
- Injection locale
- Chirurgie
Le médicament couramment utilisé est la carbamazépine.
- La carbamazépine est un médicament antiépileptique, mais elle est utilisée efficacement pour les patients souffrant de névralgie du trijumeau. Elle soulage généralement la douleur de manière efficace. Cependant, il faut commencer par une faible dose. En outre, il provoque des effets secondaires tels que la somnolence, des troubles gastro-intestinaux, des tremblements de tête, une diminution du taux de sodium dans le corps entraînant des troubles mentaux, généralement chez les patients âgés.
- On commence par des doses faibles de 100 mg trois fois par jour, que l’on augmente progressivement et que l’on poursuit pendant une période plus longue, sans limite de temps, et les doses de carbamazépine doivent être augmentées progressivement jusqu’à l’obtention de l’effet désiré.
- Avant de commencer à prendre de la carbamazépine, des analyses sanguines de routine sont effectuées. Chez certains patients, la numération sanguine peut diminuer après le début du traitement. En outre, le syndrome de Steven Johnson est une affection peu fréquente mais potentiellement grave liée à la carbamazépine, qui justifie l’arrêt du médicament.
- Chez les patients intolérants à la carbamazépine, on peut administrer de l’oxcarbazépine, dont les effets secondaires sont moindres.
- Le baclofène est administré dans certains cas.
- La prégabaline et la gabapentine peuvent être essayées dans quelques cas.
Que se passe-t-il si les médicaments ne sont pas efficaces contre la névralgie du trijumeau ?
Supposons que le traitement médical soit inefficace pour contrôler l’intensité de la douleur ou que les patients ne tolèrent pas les médicaments en raison de leurs effets secondaires. Dans ce cas, il convient de procéder à une intervention sur la douleur.
L’ablation par radiofréquence du ganglion de Gasser est pratiquée pour bloquer la voie de la douleur. Il s’agit d’une procédure peu invasive où l’aiguille pénètre dans le cerveau par le visage et où l’énergie thermique est délivrée. Elle diffère de l’injection habituelle, mais ne nécessite pas d’intervention chirurgicale au niveau du cerveau.
Comment se déroule l’ablation par radiofréquence du ganglion de Gasser ?
L’ablation par radiofréquence du ganglion de Gasser est réalisée sous un appareil à rayons X. Une anesthésie générale n’est pas nécessaire.
Aucune anesthésie générale n’est nécessaire, l’intervention étant généralement réalisée sous anesthésie locale.
Sous guidage fluoroscopique, le ganglion de Gasser est identifié et vérifié par un test de stimulation électrique.
Après l’ablation par radiofréquence du ganglion, un léger engourdissement de la bouche peut subsister, mais il disparaît progressivement avec le temps.
Quels sont les effets secondaires à court et à long terme de l’ablation par radiofréquence ?
Immédiatement après l’intervention, on peut ressentir une douleur au niveau de la piqûre de l’aiguille, qui dure environ 2 à 3 jours.
Un gonflement du visage peut parfois persister pendant 1 à 2 jours, car le visage est très vascularisé.
Certains patients peuvent ressentir un engourdissement du visage pendant 7 à 10 jours après l’intervention.
Complications – une paralysie des cordes vocales peut survenir, mais elle n’est pas permanente. Elle est observée chez 1 patient sur 500 en raison de la blessure causée par l’aiguille aux nerfs environnants du ganglion de Gasser.
Y a-t-il un risque vital ?
Avant de commencer la procédure, les paramètres de coagulation doivent être vérifiés pour prévenir les complications hémorragiques, et des antibiotiques prophylactiques doivent être administrés pour prévenir l’infection, en particulier chez les patients diabétiques dont la glycémie est bien contrôlée.
L’intervention n’est pas pratiquée en cas d’infection locale, de septicémie, de coagulopathie, d’augmentation de la pression intracrânienne ou de psychopathologie majeure.
Sous guidage par imagerie et test de stimulation nerveuse, les taux de complications sont minimes si l’aiguille est placée correctement et avec précaution.
Existe-t-il une autre procédure que l’ablation par radiofréquence pour la névralgie du trijumeau ?
- Dans la méthode de microcompression percutanée par ballonnet, une grosse aiguille de 14G, de 10 cm, puis un cathéter appelé cathéter de Fogarty sont insérés, de sorte que l’intensité de la douleur et le risque de saignement sont plus importants. L’anesthésie générale est nécessaire pour réaliser cette intervention. Mais il n’y a pas d’avantages supplémentaires en termes de durée de la période sans douleur.
- Décompression microvasculaire chirurgicale – La chirurgie consiste à faire un trou dans le crâne (craniotomie) et à exposer le nerf à la base du cerveau afin d’insérer une minuscule éponge entre le vaisseau qui comprime et le nerf. Le temps de rétablissement de la décompression microvasculaire peut durer entre deux et quatre semaines, avec des progrès graduels en cours de route. Elle comporte des risques d’infection. Perte auditive, engourdissement facial et/ou faiblesse faciale (généralement temporaire, rarement permanente) Fuite de liquide céphalo-rachidien. Une récidive peut survenir chez 18 à 30 % des patients, principalement dans les deux ans suivant l’opération.
- L’injection percutanée de rhyzolyse au glycérol est une technique ancienne, mais le soulagement de la douleur est de très courte durée. Nous introduisons une aiguille remplie d’une petite quantité de glycérol dans le ganglion à partir duquel le nerf trijumeau se divise et sort du crâne. Cette procédure bloque les signaux de douleur dans le nerf trijumeau et aide à réduire la douleur.
- La cryoablation des branches superficielles du nerf trijumeau et du ganglion de Gasser est très efficace pour traiter la névralgie du trijumeau. Dans cette méthode, une aiguille est passée de la même manière que pour l’ablation par radiofréquence, puis le nerf est congelé à -800 C. La cryoablation a l’avantage d’être moins douloureuse et de ne pas entraîner de paralysie motrice.
- L’injection de Botox (toxines botuliques) dans le visage est l’une des méthodes efficaces pour traiter la névralgie du trijumeau. L’inconvénient de cette procédure est qu’elle doit être répétée tous les 3 à 6 mois et qu’elle devient très coûteuse à long terme.
- La décompression microvasculaire stéréotaxique n’est pratiquée que lorsque le patient n’est pas apte à subir une intervention ou une chirurgie. Le traitement par Gamma Knife de la névralgie du trijumeau fait cesser la douleur chez la plupart des patients, généralement en l’espace de 10 jours.
Quelle est l’efficacité de la radiothérapie stéréotaxique ou Gamma Knife ?
Le Gamma Knife est un appareil qui délivre des faisceaux de rayonnement précis et contrôlés qui ciblent les nerfs à l’intérieur du crâne, y compris le cerveau et les nerfs associés. Le soulagement de la douleur par Gamma Knife n’est pas immédiat et le taux d’échec est élevé. Toutefois, cette procédure ne nécessite pas de piqûre d’aiguille. Il existe des effets secondaires, notamment des picotements ou un engourdissement du visage.
Message à retenir
- Le meilleur soulagement de la douleur est obtenu par l’ARF pendant une période approximative de 5 à 10 ans.
- L’efficacité des injections de glycérol est d’environ 5 à 6 mois, d’où la nécessité d’injections répétées.
- Les jeunes patients souffrant de névralgie du trijumeau préfèrent la chirurgie aux patients âgés, mais avant la chirurgie, il faut essayer l’ablation par radiofréquence car le soulagement de la douleur est plus constant avec cette méthode.
- La chirurgie n’est pas une méthode de guérison permanente, car les récidives sont fréquentes même après l’opération, et la chirurgie a plus d’effets secondaires.
Quel est le traitement de la névralgie du trijumeau à domicile ?
Bien qu’un traitement médical soit nécessaire pour gérer efficacement la névralgie du trijumeau, certains remèdes maison peuvent aider à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie. Voici quelques remèdes maison qui peuvent être utiles en cas de névralgie du trijumeau :
- Compresses froides : L’application d’une compresse froide sur la zone affectée peut aider à réduire la douleur et l’inflammation. Enveloppez une poche de glace dans une serviette et appliquez-la sur le côté affecté du visage pendant 15 à 20 minutes d’affilée.
- Compresse chaude : Une compresse chaude peut également aider à réduire la douleur et la tension musculaire.
- Trempez un gant de toilette dans de l’eau chaude et appliquez-le sur la zone affectée pendant 15 à 20 minutes d’affilée.
- Techniques de relaxation : Le stress et l’anxiété peuvent déclencher les symptômes de la névralgie du trijumeau. Les techniques de relaxation, telles que la respiration profonde, la méditation et le yoga, peuvent contribuer à réduire le stress et à améliorer les symptômes.
- Éviter les déclencheurs : Certains facteurs déclenchants, tels que les températures chaudes ou froides, le vent et le stress, peuvent déclencher les symptômes de la névralgie du trijumeau. Éviter ces déclencheurs peut contribuer à réduire la fréquence et la gravité des symptômes.
- Modifications du régime alimentaire : Certains aliments, comme ceux qui sont riches en sucre ou en caféine, peuvent déclencher des symptômes. Maintenir un régime alimentaire sain et éviter les aliments déclencheurs peut contribuer à réduire les symptômes.
Il est important de noter que ces remèdes maison peuvent ne pas être efficaces pour tout le monde et qu’ils ne doivent pas se substituer à un traitement médical. Si vous présentez des symptômes de névralgie du trijumeau, il est important de consulter un médecin afin de déterminer la cause sous-jacente et de recevoir un traitement approprié.
Existe-t-il un lien entre les bananes et la névralgie du trijumeau ?
Il n’existe aucune preuve évidente suggérant une relation directe entre les bananes et la névralgie du trijumeau. Toutefois, certaines personnes souffrant de névralgie du trijumeau ont signalé que la consommation de certains aliments ou boissons pouvait déclencher leurs symptômes. Ces aliments et boissons déclencheurs peuvent varier d’une personne à l’autre et peuvent inclure des éléments tels que le chocolat, la caféine, l’alcool et les aliments épicés.
Dans certains cas, les aliments riches en potassium, comme les bananes, peuvent également déclencher des symptômes chez les personnes souffrant de névralgie du trijumeau. En effet, des niveaux élevés de potassium peuvent entraîner une surexcitation des nerfs, ce qui peut exacerber les symptômes de la douleur chez certaines personnes.
Si vous souffrez de névralgie du trijumeau, il peut être utile de tenir un journal alimentaire pour suivre l’évolution de vos symptômes et identifier les aliments ou les boissons qui les déclenchent. Toutefois, il est important de noter qu’il est peu probable que des changements alimentaires suffisent à soulager complètement les symptômes de la névralgie du trijumeau. Un traitement médical, tel que des médicaments ou une intervention chirurgicale, est généralement nécessaire pour gérer efficacement cette affection.